FAQ
Les maladies parodontales regroupent les inflammations des gencives et de l’os de soutien de la dent. Elles commencent souvent par une gingivite (gencives rouges et qui saignent), puis peuvent évoluer en parodontite si elles ne sont pas traitées.

Saignement au brossage, mauvaise haleine persistante, gencives qui se rétractent, dents qui bougent ou impression de “dents plus longues” sont des signes à surveiller.
C’est le premier niveau de traitement : un nettoyage en profondeur des poches parodontales, réalisé sous anesthésie locale. Il permet d’éliminer le tartre et les bactéries sous la gencive.
Si les poches persistent malgré le traitement non chirurgical, une intervention peut être nécessaire pour assainir les tissus, régénérer l’os ou repositionner la gencive.
Oui. En l’absence de traitement, la destruction progressive de l’os de soutien peut entraîner la mobilité puis la perte des dents. D’où l’importance d’un diagnostic et d’une prise en charge précoces.
Une hygiène bucco-dentaire rigoureuse, des détartrages réguliers et un contrôle professionnel tous les 6 à 12 mois sont essentiels pour prévenir ou stabiliser les atteintes parodontales.
C’est une racine artificielle en titane insérée dans l’os de la mâchoire pour remplacer une dent manquante. Elle sert de support à une couronne, un bridge ou une prothèse.
L’intervention se fait sous anesthésie locale. La plupart des patients décrivent une gêne modérée plutôt qu’une vraie douleur, bien contrôlée par des antalgiques simples.
La chirurgie dure généralement entre 30 et 60 minutes par implant. Il faut ensuite un temps de cicatrisation de 2 à 4 mois avant la pose de la dent définitive.
Un implant bien entretenu peut durer plusieurs dizaines d’années. Sa longévité dépend de l’hygiène, du suivi régulier et de l’absence de facteurs de risque comme le tabac.
Il faut suivre les consignes post-opératoires : repos, alimentation molle, bonne hygiène, application de glace et prise du traitement prescrit. Des contrôles sont programmés pour suivre la cicatrisation.
Dans certains cas oui, si les conditions osseuses et gingivales sont favorables. Le praticien évalue chaque situation pour choisir entre pose immédiate ou différée.